Vef pensées

posté le 28-10-2009 à 01:06:28

Mort d’un poète

Le portrait d'un jeune poète aux cheveux ondés comme une toison apparut devant moi, ses yeux, son nez, ses sourcils, ses oreilles semblaient tous ordinaires, mais pris ensembles, ils lui prêtaient l'aspect le plus merveilleux, en effet, on ne pouvait expliquer son aspect extraordinaire en le détaillant trait par trait, mais tout en lui était véritablement humain :
             dans le silence de la nuit
             ta face pure m'apparaît
             les charmes des chants de jadis
             ensorcellent mon coeur muet
L'une ensorcellent l'autre ces lignes transpercent mon coeur, non, l'homme ne pouvait se passer de cette clarté, de cette pureté et de ce bonheur inconcevable, quoi qu'on dise cette autre vérité apparue dans le silence de la nuit et n'exigeant aucune preuve existait, l'"homme devait vérité ce bonheur même au prix de sa propre perte, celui qui ne l'a jamais éprouvé est un homme si malheureux, si misérables que lorsqu"il retournera en terre, son empreinte transparente immatérielle resta, dans l'espace de cet au*delà que son âme avait jadis habité.....son fantôme restera a planer au-dessus de l"endroit où il est tombé sous toutes les pluies qui s'y déverseront, il restera au milieu de la bruyante place publique, si une ville y aura^été érigée, il étendait ses mains, sol interrogera les générations passant devant lui pour savoir pourquoi il avait et pourquoi il était mort.....
  
 


 
 
posté le 28-10-2009 à 01:05:12

Futurisme

Sur les clôtures, l'ombre des acacias brode son vivant ornement, de derrière les toits le soleil clair et chaud, le monde entier aura sommeil les tuiles brillantes comme du verre, une bicyclette passa dans un battement silencieux d'ailes d'oiseau ; fourgon allemand chargé de glace roulait brique ballant...
Il s'avérait que tout cela relevait de la plus pure poésie; à condition toutefois de découvrir l'âme de la chose ou du phénomène, l'âme de la bicyclette, par exemple, qui " passera " dans un battement silencieux dans lequel le crissement des pneus était quand même sensible , il m'affairait par sa diabolique exactitude.
Je me relis et me dis, que tout est juste, mais pas tout à fait; il n'est pas sans intérêt ou sans utilité, pour soi-même et pour les autres d'évoquer l'histoire de ce que l'on a soi-même tenu de nous rappeler toute notre vie; toutes nos années sont pour nous violement colorées et inoubliables, hélas ! Leurs couleurs sont ni délabrées si bien que " chaque" millésime semble écrit au sang, ces chiffres, nous ne pouvons les oublier, ils sont tracés sur nos visages, c'est la crise des symbolismes, dont il était beaucoup question aussi bien parmi les symbolismes que dans le camps adresses, c'est dand l'armée où se manifeste avec netteté la tendance hostile au symbolisme et les unes aux autres; " l'egofautisme" et premiers embryons du "futurisme".
 
 


 
 
posté le 28-10-2009 à 01:03:19

Méditation sur l’attention et la fascination

Le philosophe empiriste, pour lui l'esprit n'a aucune activité propre et se contente de recevoir passivement ce que l'expérience extérieure lui apporte, il conçoit ainsi toute attention sur le modèle de l'attention passive, celle que nous portons invinciblement et en quelque sorte malgré nous à un bruit violent, çà une couleur vive, à toute impression sensorielle, plus intense que les autres et qui par là même s'impose.Bien loin de se diriger vers l'objet, notre attention serait dirigée par lui, l'attention serait l'invasion de la conscience par un objet auquel nous nous bondonnons, on peut parler alors de monoïdéisme puisque l'attention se réduit à la présence d'une idée fixe unique imposée à la conscience par le monde extérieur, il déclare expressément " une sensation devient attention, soit parce qu'elle est seule, soit parce que elle est plus vive que toutes les autres sans qu'il soit nécessaire de supposer rien de plus dans l'âme" cette formule est sans équivoque, il refuse de reconnaître sous le nom d'attention une activité réelle de la conscience , ce n'est plus la conscience qui fait attention, la conscience subit seulement l'invasion d'un objet.Pour malreaux  en s’en souvient de ses antimémoires quand il raconta ; « .....un sous officier me fit signe, je pouvais faire quelques pas, il me tourna vers le mur, les amins appuyées sur les pierres au-dessus de ma tête, j’entendis un commandement « achtung », le me retounai, j’étais en face d’un peloton d’execution... ».Les antimémoires et les noyers de l’altenburg, c’est la tentation de l’occident, la voie royale ou la condition humaine..... »Parler de la grâce avec uncuré qui baptise dans l’odeur d’un village nocturne, et parler de ce qui reste ou de ce qui advient aprés le baptéme, devenons-nous autres ou il reste toujours queque chose.....Mais reflechir sur la vie, en face de la mort, ce n’est qu’approfondir les interrogations, pour malreauw le fait d’être tué ne pose aucube question à ceux qui ont la chance qu’il considére banale d’être courageux, mais la mort dans la viellesse et la metamorphose de la terre suggere la mort par sa torpeur, même si sa metamorphose est l’oeuvre de l’homme et surtout la question qu’il avait l’habitude de formuler en la considérant comme l’irrémediable dire ; «  tu ne sauras jamais ce que tout cela veut dire... »Malreaux se repprochait le fait qu’il ne savait pas se creer pendant son enfance il ne sut s’accommoder à la vie, son action et son intérêt s’élevait à l’histoire étant dans ce l’on fait et dans dans ce que l’on dit, et l’amitié qui a jouer un grand rôle dans sa vie ne s’est pas accomoder de la curiosité.Parce que, ayant vecu dans le domaine incertain de l’esprit et de la fictionqui est celui des artistes, puis dans celui du combat et dans celui de l’histoire, ayant connu une asie dans l’agonie, mettait encore en lumiére ce que signifiat l’occident, il a rencontré maintes fois, tantôt humbles et tantôt éclatants, ces moments où l’énigme fondamentale de la vie apparaità chacun de nous comme elle apparait à presque toutes les femmes devant un visage d’enfant, à presque tous les hommes devant un visage de mort....Dans toute forme de ce qui nous entraine, dans tout ce que l’on a vu lutter contre l’humiliation et même en toi, douceur o se demande ce que u fais sur la terre, la vie semblalble au dieu des religions disparues, qui aparait comme le livret d’une musiqu inconnue, en fait ou peut dire que la mort, evenement le plus naturel pour l’homme, est aussi le plus culturel, celui d’où naissent mythes et religions.Pour comprendre ce phenoméne on a definit une anthropologie qui s’inscrit en continuité, mais aussi en rupture dans l’évolution biologique, puis, à partir de l’étude des attitudes fondamentales des hommes devant la mort, on en dégage les deuw mythes originaires qui sont aprés meditation sur la crise contemporaine de la mort et sur la mort du point de vue biologique, la consecration de certains penseurs envisageant pour un avenir proche une reforme de la conception de la mort humaine «  la mort se situe ewactement dans la charniére bio-anthropologique, c’est le trait le plus humain, le plus culturel de l’anthropos...c’est dans ses attitudes et croyances devant la mort que l’homme ewprime ce que la vie a de plus fondamental « .........Malreaux ewprima ses antimémoires devant le pleton d’excution.......... ».
 


 
 
posté le 28-10-2009 à 01:01:35

Méditation sur le hasard et la nécessité

Dieu joue-t-il aux dés ? Ou bien tel un grand horloger ordonne-t-il les phénomènes physiques selon un enchaînement rigoureux des causes et des effets, que seule l'imperfection de nos moyens d'observation nous empécheraient de connaitre ? ce débat oppose les scientifiques, un rayon lumineux est constitué de photons " grains" élémentaires d'énergie, un photon comme toutes les particules de la physique quantique possède des propriétés qui l'apparente à une onde et d'autres qui le font ressembler à un corpuscule, si l'on accepte l'interprétation donnée à la physique quantique par Niels Bohr et ses disciples, il n'est jamais les deux à la fois, mais se manifeste sous l'une ou l'autre des formes selon l’instrument avec lequel on l'observe, au contraire pour Einstein comme pour louis de Broglie, onde et corpuscule existent simultanément et possèdent tous deux une réalité physique indépendante de l'instrument d'observation. Einstein n'était pas homme à se contenter de cette attitude pragmatique, tout en admirant la fécondité de la physique quantique, il a maintenu jusqu'à la fin de sa vie que si l'on tire de cette physique des conséquences aussi inadmissibles que l'indétermination des phénomènes naturels, cela prouve qu'elle ne peut prétendre constituer une représentation totale exhaustive de la réalité, il faudra chercher au delà, Pour sa part louis de Broglie n'a cessé d'encourager les tentatives d'expliquer le caractère probabiliste des phénomènes quantiques par l'existence de variables cachées. le déterminisme et le hasard de ce qui est de la cause matérielle ou formelle, cause efficiente ou cause finale, le sujet ouvre à discussion, pour ce qui est de la loi, la loi est le rapport nécessaire entre des phénomènes, le principe du déterminisme qui revient à dire que l'apparition d'un phénomène est strictement déterminée par des conditions d'existence bien définies, aussi peut-on parler de concomitances constantes ou de la constante des concomitants, on parlera alors du hasard pour désigner un fait qui échappe à tout pouvoir humain de le déterminer d'avance, un fait imprévisible sans pour cela vouloir dire que le fait attribué au hasard est un fait sans cause, et il n'y a aucune contingence au sens métaphysique du terme et un phénomène fortuit n'est pas dépourvu de causes déterminantes, et une somme de contingences ne se traduirait pas par une loi statistique globale, le hasard serait le point de rencontre de deux séries de phénomènes dont chacune est déterminée, mais qui sont indépendantes l'une de l'autre, et affirmer le hasard c'est nier la solidarité des séries causales, mais il reste qu'à partir d'un intérêt humain que l'on parle de hasard., ce nous laisse méditer… !
 


 
 
posté le 28-10-2009 à 00:59:57

Méditations avec Pascal : la science et la foi

Parce que les savants sont des intellectuels épris avant tout de vérité, suffit-il pour les convertir, de leur apporter les preuves de la religion ? Non et pour deux raisons, d'abord ces preuves ne sont pas décisives, la science n'est pas certaine, et puis les savants sont des hommes comme les autres, ce n'est pas la seule raison qui les engage dans leur étude, c'est le coeur puisqu'à l'origine de leur effort, il y a le désir, la curiosité inquiète. Le premier argument de pascal est que la science n'est pas certaine, dans l'esprit géométrique, c'est par le coeur que nous connaissons les premiers principes, pascal semble avoir songé dans le même ordre d'idées à nier les principes naturels, bien qu'il prouve que les principes naturels ne sont pas des principes de coutume. Il est possible que pascal ait pressentit la révolution que devaient apporter le non-euclidisme, la relativité, le quantinisme et qu'il ait songé à en tirer parti contre la science ait pensé à l'univers entre l'in finement grand et l'in finement petit et que signifient ces deux pages si justement admirées pour la splendeur exacte de la forme ? Pascal disait que l'univers est infini et homogène. Enfin pour pascal il faut renoncer à la science, car tout ce qu'on peut savoir, on le sait d'avance. la défaite de pascal est que l'idée de l'univers homogène sur laquelle repose toute son argumentation logique, tout son effort psychologique n'a pas résisté aux conquêtes de la physique moderne, l'hypothèse pascalienne s'est avérée trop simpliste pour s'adapter au monde des fines structures, pascal dans l'ordre humain est beaucoup plus prés des relativistes modernes que Descartes, selon lui la science la plus haute n'est absolument certaine et les principes de la raison pourraient bien n'être que coutume, mais dans l'ordre religieux, il croit à la vérité absolue. 
 


 
 
 

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