Titre du blog : Vef pensées
Auteur : docteur
Date de création : 13-03-2008
posté le 28-10-2009 à 01:03:19
Méditation sur l’attention et la fascination
Le philosophe empiriste, pour lui l'esprit n'a aucune activité propre et se contente de recevoir passivement ce que l'expérience extérieure lui apporte, il conçoit ainsi toute attention sur le modèle de l'attention passive, celle que nous portons invinciblement et en quelque sorte malgré nous à un bruit violent, çà une couleur vive, à toute impression sensorielle, plus intense que les autres et qui par là même s'impose.Bien loin de se diriger vers l'objet, notre attention serait dirigée par lui, l'attention serait l'invasion de la conscience par un objet auquel nous nous bondonnons, on peut parler alors de monoïdéisme puisque l'attention se réduit à la présence d'une idée fixe unique imposée à la conscience par le monde extérieur, il déclare expressément " une sensation devient attention, soit parce qu'elle est seule, soit parce que elle est plus vive que toutes les autres sans qu'il soit nécessaire de supposer rien de plus dans l'âme" cette formule est sans équivoque, il refuse de reconnaître sous le nom d'attention une activité réelle de la conscience , ce n'est plus la conscience qui fait attention, la conscience subit seulement l'invasion d'un objet.Pour malreaux en s’en souvient de ses antimémoires quand il raconta ; « .....un sous officier me fit signe, je pouvais faire quelques pas, il me tourna vers le mur, les amins appuyées sur les pierres au-dessus de ma tête, j’entendis un commandement « achtung », le me retounai, j’étais en face d’un peloton d’execution... ».Les antimémoires et les noyers de l’altenburg, c’est la tentation de l’occident, la voie royale ou la condition humaine..... »Parler de la grâce avec uncuré qui baptise dans l’odeur d’un village nocturne, et parler de ce qui reste ou de ce qui advient aprés le baptéme, devenons-nous autres ou il reste toujours queque chose.....Mais reflechir sur la vie, en face de la mort, ce n’est qu’approfondir les interrogations, pour malreauw le fait d’être tué ne pose aucube question à ceux qui ont la chance qu’il considére banale d’être courageux, mais la mort dans la viellesse et la metamorphose de la terre suggere la mort par sa torpeur, même si sa metamorphose est l’oeuvre de l’homme et surtout la question qu’il avait l’habitude de formuler en la considérant comme l’irrémediable dire ; « tu ne sauras jamais ce que tout cela veut dire... »Malreaux se repprochait le fait qu’il ne savait pas se creer pendant son enfance il ne sut s’accommoder à la vie, son action et son intérêt s’élevait à l’histoire étant dans ce l’on fait et dans dans ce que l’on dit, et l’amitié qui a jouer un grand rôle dans sa vie ne s’est pas accomoder de la curiosité.Parce que, ayant vecu dans le domaine incertain de l’esprit et de la fictionqui est celui des artistes, puis dans celui du combat et dans celui de l’histoire, ayant connu une asie dans l’agonie, mettait encore en lumiére ce que signifiat l’occident, il a rencontré maintes fois, tantôt humbles et tantôt éclatants, ces moments où l’énigme fondamentale de la vie apparaità chacun de nous comme elle apparait à presque toutes les femmes devant un visage d’enfant, à presque tous les hommes devant un visage de mort....Dans toute forme de ce qui nous entraine, dans tout ce que l’on a vu lutter contre l’humiliation et même en toi, douceur o se demande ce que u fais sur la terre, la vie semblalble au dieu des religions disparues, qui aparait comme le livret d’une musiqu inconnue, en fait ou peut dire que la mort, evenement le plus naturel pour l’homme, est aussi le plus culturel, celui d’où naissent mythes et religions.Pour comprendre ce phenoméne on a definit une anthropologie qui s’inscrit en continuité, mais aussi en rupture dans l’évolution biologique, puis, à partir de l’étude des attitudes fondamentales des hommes devant la mort, on en dégage les deuw mythes originaires qui sont aprés meditation sur la crise contemporaine de la mort et sur la mort du point de vue biologique, la consecration de certains penseurs envisageant pour un avenir proche une reforme de la conception de la mort humaine « la mort se situe ewactement dans la charniére bio-anthropologique, c’est le trait le plus humain, le plus culturel de l’anthropos...c’est dans ses attitudes et croyances devant la mort que l’homme ewprime ce que la vie a de plus fondamental « .........Malreaux ewprima ses antimémoires devant le pleton d’excution.......... ».