posté le 28-10-2009 à 00:53:50
Moralité et passion
La moralité dans les conditions actuelles d'une civilisation développée n'est pas un code de prescription didactiques bien qu'il y ait en elles un élément rationnel, mais la conscience vivante de chacun, le sens du beau et du bon dans dans la réalité, la résistance a ce qui se colore de tons sinistres de l'indifférence de la froideur, de la cruauté, de l'antihumanisme.
En posant le signe d'égalité entre la moralité et la conscience sociale, je veux dire que cette catégorie de l'esprit humain s'est manifesté, dans toute sa force irrésistible au sein de la constellation d'écrivains qui vinrent à la littérature après la guerre, l'idée de moralité devient conviction et la conviction...idée.
Le beau est toujours mystérieux, il nous séduit toujours par ce charme intrigant de la beauté pas encore dévoilée jusqu'au bout, comme la poésie, la prose.
Nous devons admettre que l'on avait connu l'homme par la catégorie du beau, qui est la vérité des sentiments, la vérité littéraire réside dans la catégorie du tragique ou du cosmique, et il est impossible de la connaitre profondément à travers ce ' quelque chose' cet " on ne sait quoi' ce milieu d'indifférence tranquilles où ne règne point l'ardeur des passions a cette exception prés, bien entendu, quand le milieu est le côté opposé de la passion.
posté le 28-10-2009 à 00:53:03
Moralité et conscience sociale de l’écrivain
Comme on sait, la littéraire ne produit pas de valeurs matérielles à la différence de la science, elle opère par catégories artistiques, notions éthiques, sentiments raisonnables, mais ne produit pas moins de valeur que la technique la plus féconde, de sorte que si nous disons de l’économie la chair, l’art peut-être nommé l’esprit de toute activité de l’homme, sa moralité, ainsi la chair et l’esprit, l’économie et l’art…sont le fruit des efforts déployés par les esprits créateurs, celui qui créer des choses et celui qui crée des images vivent dans la société avec le sens de leur responsabilité devant l’avenir, la création de la valeur spirituelle qu’est le livre n’est nullement un oisif plaisir, ni le jeu d’une imagination capricieuse, ni le fruit d’un léger engouement burlesque il s’agit d’un acte exigeant une grande tension de toutes les forces humaines, d’une lente et jusqu’à la dernière heure obsédante confession dressée à l’homme au sujet de l’homme, la vie des grands génies, maîtres insurpassés , tout leur labeur de forçat doivent nous inciter non pas à l’imitation de leur style de leurs système esthétique d’images mais à une constante aspiration vers notre propre perfectionnement dans la réalisation de l’idée, ils doivent nous inspirer aussi un sentiment d’enthousiasme sublime pour la dévotion au verbe, être passionnément dévoué au verbe, cet instrument de haute sensibilité, signifie croire en sa predistination sur terre et en la communauté de la république littéraire des confrères de la plume, il n’y a pas de meilleurs louanges pour notre littérature qui vit dans la réalité présente et y prend sa pleine mesure de beauté, sa plein puissance de sage moralité.
posté le 28-10-2009 à 00:51:20
La forme transitoire
l'immense se trouve en effet au seuil d'immenses possibilités qu'elle devine à peine, nous devons encore découvrir comment vivre dans la noosphère, comment entrer dans les domaines inconnus des potentialités humaines, on cherche ce qui manque à notre vie pour qu'elle ait un sens manifeste, la santé physique, bien sûr, mais surtout la santé spirituelle, l'intégration de la personnalité, les états supérieurs de conscience, les grands mystiques ont atteint des états de vie qui sont encore inaccessibles pour l'énorme majorité des humains, mais que sont certainement d'une grande importance, nous avons tout à découvrir, la science du XIX ° siècle considérait l'homme comme achevé...curieux, n'est ce pas ? Alors que nous sommes des êtres si neufs et si imparfaits.
Par contre de nombreux philosophes et scientifiques contemporains imaginent que l'humanité actuelle est une forme transitoire, comme l'homme primitifs qui nous ont précédés, une idée moderne d'une mutation créant une humanité nouvelle ?
posté le 06-06-2009 à 02:33:54
Lyrisme psychologique
Chacun des écrivains suit sa propre voie pour joindre la vérité ce qui prouve une de plus qu'il n'est d'autres moyens d'attendre celle-ci que d'égaliser démocratiquement toutes les approches si variées soient elles et de laisser évoluer en toute liberté les styles les plus dissemblables pour ce qui est de la quête thématique, esthétique et linguistique, les récits en presentatnt aujourd'hui une grande vérité, la nouvelle parabole en constitue l'un des axes, les plus remarquables sur ce plan, se sont les oeuvres des écrivains qui y cernent nettement et explorent certains modèles de comportement bien concrets qui se sont forgés au cours des dernières années.
Un autre courant, fort différent du précédent, le récit lyrico psychologique où se distingue un écrivain aussi fécond qu'intéressant, chez qui se marient avec bonheur les accents eligiaques et intimistes de la prose avec le style concis incesif de la prose, qui dépens avec une bonté sincère ses héros honnêtes et intègres, il est même sentimental parfois dans le bon sens du terme, mais l'écrivain se montrera implacable s'il s'agit de bureaucrates, de personnage, oisifs et cynique imbus de leur pouvoir, chacun de ses récits est une analyse muticuleuse des conditions sociales qui empêchent les hommes dignes de s'affirmer pleinement mais présentent un terrain favorable pour ceux qui mènent une existence parasitaire dans le domaine du social et spirituel.
posté le 06-06-2009 à 02:29:47
Littérature et découvertes
Les découvertes collectives ne sont probablement possibles de nos jours que dans les sciences, alors qu’on se fait une idée de l’art de n’importe quel pays d’après »s les artistes hors pair qui surent créer leur propre système d’images ç nul autre pareil, leur propre perception de la réalité. L’ultime sélection est l’œuvre du temps qui par monts et par vaux, visite les cimes illuminés par le talent, et c’est lui qui les élit.D’une façon ou d’un autre, l’art est créer par les individualités capables d’imprimer nettement leur cachet personnel dans l’interprétation des phénomènes de vie et de la nature humaine, le talent, c’est le vent cause » par la différence de pression, qui soulève une houle fraîche sur la grande mer de la littérature, le brusque appel d’air d’une excitation esthétique inconnue, c’est enfin la découverte de quelque chose d’encore irréel », après quoi commence une période nouvelle dans l’art, de même qui dans la conscience des hommes apparut, dessous, un critère de comparaison encore inhabituelles ç la suite de la découverte scientifique.Naquit alors une littérature étonnante par sa fraîcheur et sa plénitude, par les tièdes et froides bouffées d’air de la vie qui ne s’arrête jamais, par les petites et grandes découvertes du passé et du présent, par le sens raffiné ou délicat du beau, qui devient une catégorie de la vérité, de l’authenticité », sans laquelle l’art n’est plus qu’un décor éclair » par les feux de la rampe.
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